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RÉAGIR, S'ADAPTER, REVIVRE

 G E S T®
Global Enhancement through Stochastic Triggering

Le Geste Réactif ®

RÉAGIR       S'ADAPTER       REVIVRE                  

  Post Traumatic Stress Disorder Addiction Somatisation Coaching Wellness 

Physiothérapie systémique     Coaching systémique

PTSD STRESS TRAUMA DOULEURS SOMATISATIONS

G E S T®   Le Geste Réactif®

Global Enhancement through Stochastic Triggering

PTSD STRESS TRAUMA addiction

RÉAGIR   S'ADAPTER   REVIVRE

NB: cliquer sur les mots soulignés renvoie à des publications

G E S T® / Le Geste réactif® est une méthode corporelle non verbale qui stimule de façon spécifique les capacités d'adaptation de notre organisme. Cette méthode permet de retrouver très rapidement un bon équilibre physique et psychique quand des évènements péjoratifs de nature diverse l'ont perturbé. Elle contribue également à augmenter les performances des sportifs ainsi qu'à stimuler la confiance en soi et la créativité des artistes.

 

Cette méthode ne s'apparente à aucune autre. Elle découle de la modélisation de nos processus mémoriels dans le cadre de récentes avancées en physique et biologie relativiste d'échelle. Cette méthode novatrice s'inscrit dans la logique de la médecine de demain théorisée par le Pr Leroy HOOD, la médecine 4P (Prédictive, Personnalisée, Préventive, Participative), projet révolutionnaire dans le domaine de la santé et du bien-être que développe en particulier l'European Institute for Systems Biology and Medicine  EISBM.org

 

G E S T® / Le Geste Réactif® vise à résoudre les réactions de défense de l'organisme quand elles persistent après un événement déclencheur. Ces réactions prolongées de défense peuvent causer divers troubles physiques et psychiques qui conduisent à des comportements inadaptés, lesquels en retour renforcent l'état d'alerte du corps (effet de rétroaction ou feedback). Cette spirale négative peut se manifester sous plusieurs formes, telles que le syndrome de stress post-traumatique, la perte de confiance, l'hypersensibilité, l'anxiété, la dépression, les addictions, les troubles du comportement alimentaire, les somatisations, la procrastination, et aussi le désir irrationnel de toute puissance et divers comportements relationnels inappropriés. Ces manifestations défavorables individuellement et socialement s'apaisent lorsque l'organisme retrouve son rythme normal d'adaptation.

 

G E S T® / Le Geste Réactif® a notamment prouvé son efficacité dans des cas particulièrement difficiles de syndrome de stress post-traumatique liés à des situations de guerres et d'attentats.

L'adaptation, condition de notre existence

Il n'y a pas de vie sans échange : nous constituons un système ouvert sur notre environnement. La conjonction de deux variables, notre mobilité d'une part et notre environnement en constante évolution d'autre part, nous fait rencontrer une multitude d'évènements imprévisibles. Ainsi, il ne peut y avoir d'échange vital sans capacité à s'adapter. Se confronter à des évènements imprévisibles, variant de manière aléatoire, stimule nos fonctions vitales, développe notre réactivité, notre inventivité. 

 

Vivre c'est s'adapter, s'adapter c'est réagir face aux aléas de la vie. Réagir, s'adapter, procède d'un ensemble de processus complexes à différentes échelles d'observation et de niveaux d'activité de l'individu (une échelle se réfère à une unité de mesure, un niveau à une fonction). À l'échelle globale de l'individu, cette complexité se traduit en divers comportements.  

Notre activité biologique est l'architecture de notre existence. Elle est le support essentiel de tout ce qui concourt à notre adaptation. Nos sens, nos gestes réflexes, nos actions conscientes, nos pensées, nos mémoires, notre système immunitaire, dépendent et participent de cette activité. Nous sommes une partie intégrante d'un monde physique. Toutes fonctions de notre être, y compris notre activité psychique et mémorielle, miroir de notre activité physique, de nos expériences de vie, a pour cadre universel les lois naturelles qu'observe, évalue et modélise la science physique.

Quand la mémoire d'évènements vécus comme dangereux perturbe l'ensemble des fonctions de l'individu, stimuler notre activité biologique et physiologique constitue la voie préférentielle pour retrouver rapidement un équilibre physique et psychique favorable.

Se figer plutôt que combattre ou fuir : 

une des possibilités réflexes de l'organisme pour survivre au danger

Face à des situations perçues comme menaçantes, notre organisme a la possibilité de nous figer, réflexe partagé avec d'autres espèces animales. Cette stratégie de survie est utilisée lorsque ni la lutte ni la fuite ne semblent d'instinct viables. Contrairement aux animaux sauvages, qui ne réfléchissent pas à leur état de sidération physique face au danger et retrouvent rapidement leur liberté de mouvement, nous, humains qui avons spontanément tendance à analyser nos expériences, interprétons fréquemment à partir de cette réaction réflexe de figement des pensées négatives sur notre capacité, notre valeur, etc. Ces croyances entretiennent l'alerte organique. Ce phénomène en feedback souligne l'interconnexion inextricable entre corps et esprit. 

De fait, il est indispensable de tenir compte de la nature indivisible de notre être pour passer d'un état d'alerte global à un état de veille, ce qui demande impérativement de stimuler simultanément toutes les fonctions de l'être. 

L'être humain :

une entité unique, dotée de deux modes de communication distincts

 

Ainsi, lorsque nous ne libérons pas l'énergie qui aurait servi à une réaction physique face au danger, cette énergie potentielle maintient notre organisme en alerte et perturbe toutes nos fonctions. Un peu comme si une alarme d'incendie continuait de nous assourdir après que l'incendie ait été éteint. Cette persistance de l'alerte organique provoque un épuisement progressif des ressources biologiques, affectant à la fois nos fonctions corporelles (immunitaires, digestives, cardiovasculaires, etc.) et psychiques.

 

Paradoxalement, même si nous savons que le danger est passé, notre corps et notre esprit restent perturbés, nous rendant hypersensibles à notre environnement. Nous vivons alors constamment en ''mode guerrier''. Ce phénomène d'hypervigilance chronique souligne une réalité importante :

 

  - Notre organisme, structure physico-chimique auto-organisée, est totalement indifférent à notre bonheur. Ce n'est pas un système conscient. Il ne se préoccupe pas de nos états d'âme, de nos aspirations sociales et culturelles, de nos projets de vie, etc. Cette activité complexe réalise et assure le maintien de son/notre existence physique dans un cadre physique, notre environnement naturel. Puisque conserver la vie nécessite de s'adapter aux aléas rencontrés, cette auto-organisation se modifie automatiquement selon un effet de seuils physiques. Notre organisme (puis notre conscience) est informé par ses capteurs sensoriels (nos sens) : trop chaud, trop froid, pas assez d'oxygène, de nutriments, etc. Les expériences antérieures vécues comme dangereuses ont développé des réflexes de défense (réflexes conditionnés) qui constituent également une information organique. Ainsi, le langage de notre architecture vitale est radicalement différent de notre langage verbal. Son seul langage est celui des processus biologiques et physiologiques.

  - Le méta-langage de notre organisme prime sur tout autre (ne faut-il pas être vivant pour parler, penser, communiquer ?). Notre façon de vivre influence en retour cette auto-organisation physico-chimique par un constant effet de feedback multi-échelles.

 

Retrouver une bonne dynamique vitale quand celle-ci est altérée renforce nos capacités corporelles et mentales, apporte une meilleure clarté de pensée pour des choix de vie plus éclairés et des comportements bénéfiques pour soi et autrui. 

 

Les lois de la physique, cadre universel de notre existence

Notre être est partie intégrante de l'univers. Composé de 21 éléments chimiques que l'on retrouve couramment dans l'univers, notre organisme est encadré à toute échelle et tout niveau par les mêmes lois physiques qui organisent toute matière. Toutes découlent d'un principe fondamental et unificateur, le principe de relativité. Ce qui se résume littéralement ainsi :

Rien n'existe sans autre chose. Notre organisme comme notre environnement est à chaque instant le produit de processus, d'informations, d'interactions, d'émergences, de métamorphoses.

Bien que l'auto-organisation de notre biologie diffère de celle de la matière inerte, les mêmes lois de la thermodynamique la conditionne : "Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme" (loi de conservation de l'énergie et loi d'entropie).

Nos états physiques et psychiques se modifient selon la qualité de notre environnement, lequel comprend également nos propres mémoires. Le passage d'un état corporel et mental à un autre - qui s'exprime consciemment en émotions et sentiment de bien-être ou mal-être - correspond en physique à un phénomène de transition de phase. 

 

Les états limites (états méta-stables) basculent rapidement sous l'effet d'un faible changement de contexte. Vivre en état d'alerte constant est un exemple d'état métastable susceptible de basculer brusquement, entraînant des changements comportementaux soudains et extrêmes : phénomènes de compulsion, d'addiction, d'agressivité ou de dépression. Étouffé dans sa propre boucle de survie, l'organisme cherche ainsi une issue. Nous devenons les pantins de nos émotions. 

L'eau reste fluide quand son contexte de pression et température ne la transforme ni en glace ni en vapeur. Notre vie coule de source quand notre corps retrouve sa réactivité optimale, nous libérant alors des oscillations pénibles entre figé et agitation, peur et colère. 

Comment évaluer objectivement l'efficacité d'une méthode thérapeutique ?

Comme le soulignait Richard Feynman, lauréat du prix Nobel de physique : «Peu importe combien votre théorie est belle, peu importe votre intelligence, peu importe si vous êtes célèbre… Si votre théorie n'est pas en accord avec l'expérience, elle est fausse. C'est tout ».

Pour vérifier concrètement l'impact d'une méthode thérapeutique, il faut considérer son but principal : rétablir un équilibre physique et psychique optimal chez l'individu, crucial pour une bonne réactivité et l'adaptation aux défis de la vie, et synonyme de bien-être. Le sentiment de bien-être correspond à une bonne dynamique de notre système nerveux autonome, c'est à dire à une bonne synergie entre l'activité des voies sympathiques et parasympathiques. Toute perturbation physique / psychique de l'individu correspond à une instabilité du système nerveux autonome (SNA). Tester l'efficacité d'une thérapie revient à tester la réactivité du SNA de la personne pendant qu'elle évoque mentalement la problématique pour laquelle elle consulte.

 

Différentes méthodes existent pour évaluer ce ''baromètre physiologique'' de notre équilibre physique et psychique : impédancemétrie, spirométrie, cohérence cardiaque, etc. La méthode la plus simple consiste à évaluer et comparer les réactions proprioceptives (réactivité corporelle en situation de déséquilibre induit) avant et après la thérapie, en appliquant un protocole strict d'évaluation. Une différence notable de la réactivité corporelle indique l'efficacité de la thérapie face à la problématique ou l'événement perturbateur. La persistance d'un déséquilibre signe l'inefficacité de la méthode entreprise. 

Le corps a ses raisons que la raison ignore

Pourquoi a-t-on imaginé que retrouver l'équilibre global de l'être participerait essentiellement du fonctionnement de notre pensée plutôt que de celui de notre organisme ?

 

Sans doute le monde des idées s'est-il d'emblée affranchi de nos processus vitaux à défaut d'avoir spontanément la capacité d'en comprendre la complexité. Dès lors, on a attribué à nos fonctions mentales un statut privilégié, substituant de fait le rôle fondamental de notre architecture vitale au profit d'une autre architecture, spéculative celle-ci, répartie en topologies arbitraires - préconscient, conscient, inconscient, subconscient, etc. - termes d'acceptions diverses selon que l'on se dit philosophe, psychologue ou psychanalyste. Qui trouvera à y redire ?  Ainsi se créent et s'imposent nos présupposés, qu'on élève volontiers au statut de dogme. Certains fonctionnent de façon relative, comme la géométrie euclidienne, pratique à notre échelle mais qui constituerait un non-sens appliquée à la courbure de l'espace-temps ou au niveau quantique. D'autres ne fonctionnent à aucune échelle. Tout au plus flattent-elles l'intellectualité quand on attribue à la pensée le statut d'absolu (pouvant exister par elle-même).

La réalité est toute autre. Avant tout, notre intelligence n' est pas faite pour penser mais pour agir. Elle constitue, comme toutes les fonctions de l'être, une faculté d' adaptation qui accompagne notre condition anatomique dont découle notre mobilité, nos gestes, nos actions. C' est pourquoi il nous est impossible de penser deux choses simultanément, notre anatomie ne nous permettant pas de nous diriger dans deux directions à la fois ! ''L' introspection est le pire des outils d' investigation, si l'on s'intéresse à la nature de l' esprit : cela revient à aller chercher ses préjugés les plus profondément ancrés pour s'y vautrer'' (Carlo Rovelli)

 

Seule une réaction concrète peut informer et modifier le métabolisme d' un organisme en alerte, dont dépendent nos fonctions physiques et psychiques. On ne badine pas avec notre instinct de conservation ! Ce serait extrêmement dangereux si nous pouvions supprimer par notre seule pensée l'ensemble des mécanismes biologiques et physiologiques que résume le terme ''instinct de conservation''. La complexité du fonctionnement de notre organisme échappe à la logique rationnelle de notre système de pensée, et heureusement. Nous serions encombrés d'informations inutiles. Par nature, notre pensée est réductrice. Être rationnel c'est penser en ratios, en quotients arbitraires d'un ensemble complexe ; d'où la diversité de perspectives, de façon de penser un même problème, d'avis pour un même sujet. Chacun son chemin... Aborder la complexité a nécessité divers outils concrets et abstraits  (microscopes, mathématiques, etc.) pour faire un pas de côté sur notre façon spontanément analytique et linéaire de penser.

La complexité de notre existence et du monde ne pourra jamais se résumer à une logique linéaire de cause à effet, logique restrictive issue du fonctionnement naturel de notre raison. Est-ce alors bien raisonnable d'avoir raison ? À l'instar de la géométrie euclidienne, nos raisonnements subjectifs sont utiles au quotidien mais peinent à appréhender l'organisation complexe des phénomènes inhérents à notre nature humaine - organisation à la fois biologique et mémorielle -. Dès lors, humanités et sciences on tout avantage à s'associer, se superposer, se confronter, pour tenter d'appréhender cette complexité qui implique des processus dynamiques non linéaires simultanés à toute échelle.

Connaitre, comprendre notre histoire personnelle ne modifiera jamais l'alerte organique qu'elle a déclenchée. Ce serait - en plus de ce qui précède - confondre l'histoire et l'empreinte que celle-ci laisse. Notre organisme en situation de déséquilibre, qui informe notre conscience par la faim, la soif, le sommeil, l'envie d'uriner, nos émotions pénibles, etc., ne se satisfait pas d'une conscience éclairée. De même que raconter pourquoi nous avons faim ne remplira jamais l'estomac, raconter pourquoi un évènement nous a perturbé ne changera ni nos réflexes corporels en repli, ni leur intégration mentale sous forme d'émotions. Au mieux on aura l'idée d'un réconfort, d'une protection, d'une compréhension à travers l'épanchement ou la plainte. Au pire on obtiendra une certaine désensibilisation mentale tout en conservant un corps en alerte. Dissociation. Tester nos fonctions physiologiques, comme indiqué précédemment, est l'unique façon de mettre en évidence un réel retour à l'équilibre global de l'individu.

EN RÉSUMÉ

La méthode G E S T® / Le Geste Réactif® cible spécifiquement et précisément la réactivité de notre corps lorsqu'il reste bloqué dans une réaction inachevée. Cette approche corporelle stimule nos processus physiologiques d'adaptation, permettant de résoudre rapidement et définitivement un état d'alerte nuisible en utilisant le seul langage que notre corps reconnaît immédiatement. En activant de manière ciblée les voies neurophysiologiques les plus rapides, cette méthode provoque un phénomène émergeant rétroactif : en intervenant de façon spécifique à partir d'un déséquilibre corporel, d'un symptôme, d'un ressenti émotionnel, d'une contracture musculaire, etc., la réactivité réflexe induite par cette méthode envoie en retour un signal physique à l'organisme. L'équilibre biologique et physiologique se rétablit, les perturbations tant physiques que mentales disparaissent, le corps retrouve sa fluidité et l'esprit sa clarté.

Parler de l'histoire personnelle devient alors superflu. Les thérapies verbales restent utiles une fois le blocage organique levé pour accompagner le discernement retrouvé, conseiller les choix de vie.

Il est important de reconnaître que la nature ne connait pas les distinctions arbitraires que nous faisons. Il n'existe pas de ''traumatisme psychique'' isolé, pas plus que de ''traumatisme physique'' isolé. L'individu est un tout indivisible dans ses fonctions. Un traumatisme désigne l'altération durable de toutes les fonctions de l'individu, quelle que soit la nature de l'événement perturbateur initial. 

Au-delà de l'aspect thérapeutique,

 une nouvelle approche novatrice en coaching et bien-être

La régulation de nos fonctions d'adaptation joue un rôle clé dans le milieu professionnel.

G E S T® / Le Geste Réactif ® se révèle particulièrement bénéfique pour des activités telles que la prise de parole en public, l'amélioration de la communication au sein des équipes et l'efficience du management. Pour ces raisons, cette méthode est particulièrement appréciée dans le cadre du coaching en entreprise.

G E S T® / Le Geste Réactif ® est également très prisée des artistes,  sportifs et des scientifiques, les aidant à atteindre l'excellence dans leurs domaines respectifs.

Dans l'univers du bien-être, la méthode G E S T® / Le Geste Réactif ® est indispensable pour maximiser l'efficacité des autres soins proposés. Elle prépare le corps à recevoir pleinement les soins, facilitant ainsi une transformation physique et psychique profonde. Les bénéfices d'une cure de bien-être ne sont plus éphémères mais deviennent un acquis réel et durable.

Bertrand Boutron

Auteur de la méthode G E S T®/Le Geste Réactif®

Vice President of European Institute for Systems Biology and Medicine EISBM.org

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REACT, ADAPT, RELIVE

 

G E S T® / Le Geste Réactif ® is a non-verbal body method that specifically stimulates our body's ability to adapt. It enables us to quickly regain a good physical and psychological balance when it has been disrupted by negative events. 

 

This method is unlike any other. It is based on the modelling of our memory processes in the context of recent advances in relativistic physics and biology. This innovative method is in line with tomorrow's medicine theorised by Professor Leroy HOOD, the 4P medicine (Predictive, Personalised, Preventive, Participatory), a revolutionary project in the field of health and well-being being developed in particular by the European Institute for System Biology and Medicine EISBM.org

 

G E S T® / Le Geste Réactif ® aims to resolve the body's defence reactions when they persist after the triggering event. These prolonged defence reactions can cause a variety of physical and psychological disorders and maladaptive behaviours, which in turn reinforce the body's state of alert (feedback effect). This negative spiral can manifest itself in a number of ways, such as post-traumatic stress disorder, anxiety, depression, addictions, eating disorders, somatisation, procrastination, but also a desire for omnipotence, inappropriate behaviour in relationships, etc. These negative symptoms subside when the body returns to its normal rhythm of adaptation.

 

G E S T® / Le Geste Réactif ® has proved highly effective in particularly difficult cases of post-traumatic stress disorder linked to war and terrorist attacks.

Adaptation, a condition of our existence

 

There is no life without exchange: we are a system open to our environment. The combination of two variables, our mobility on the one hand and our constantly changing environment on the other, means that we encounter a multitude of unpredictable events. So there can be no vital exchange without the ability to adapt. Confronting unpredictable (stochastic) events stimulates our vital functions, develops our reactivity and our inventiveness. 

 

To live is to adapt, and to adapt is to react to the vagaries of life.

 

Reacting, adapting, is the result of a set of complex processes at different scales of observation and levels of activity within the individual (a scale refers to a unit of measurement, a level to a function). At the global level of the individual, this complexity translates into a variety of behaviours.  

 

Our biological activity is the architecture of our existence. It is the essential support for everything that contributes to our adaptation. Our senses, reflexes, conscious actions, thoughts and memories are all intimately dependent on this activity. We live in a physical environment, and the universal framework for all our activities is the natural laws observed, evaluated and modelled by physical science.

 

When the memory of events experienced as dangerous disrupts all the individual's functions, stimulating our biological and physiological activity is the preferred way of rapidly regaining a favourable physical and psychological balance.

Freeze rather than fight or flight: 

one of the body's reflex options for surviving danger

 

Faced with situations perceived as threatening, our body can react by freezing, a reflex shared with other animal species. This reaction is a survival strategy, used when neither fight nor flight seems viable. Unlike wild animals, which do not reflect on their state of paralysis in the face of danger and quickly regain their freedom of movement, we humans have a spontaneous tendency to analyse and interpret our experiences. This reflection can lead to negative thoughts about our ability, our value, etc. These beliefs persist as long as our body remains in a state of alert. This feedback phenomenon between body and mind underlines their inextricable interconnection in humans. Complaints, victimisation, feelings of powerlessness, devaluation or, on the contrary, feelings of omnipotence, the desire to take control, aggression, addictions, among others, are all expressions of this self-perpetuating loop whose origin lies in an organism frozen in a state of alertness.

 

So, to get out of the state of alert and promote good adaptation and good health, it's crucial to take account of the indivisible nature of our being. To move from a state of alertness to a state of wakefulness, it is essential to stimulate all the body's functions simultaneously. 

The human being :

a single entity with two distinct modes of communication

 

When our survival response does not end with the release of the energy we have accumulated to react, we remain in a state of alert, as if a fire alarm were continuing to sound even after the fire has been extinguished. This persistence in a state of alert causes a gradual depletion of biological resources, affecting both bodily functions (immune, digestive, cardiovascular, etc.) and mental functions. Paradoxically, even if we know the danger has passed, our body and mind remain disturbed, making us hypersensitive to our environment. So we're constantly living in "warrior mode".

 

This phenomenon of chronic hypervigilance highlights an important reality:

 

  - Our body, a self-organising physico-chemical structure, is totally indifferent to our happiness. It is not a conscious system. It is not concerned with our state of mind, our social and cultural aspirations, our life projects, etc. This complex activity carries out and maintains its/our physical existence within a physical framework, our natural environment. Since maintaining life requires us to adapt to the hazards we encounter, this self-organisation changes automatically (without the input of our consciousness) according to different physical thresholds. Our organism is informed both by its sensory sensors (our senses) and our consciousness of experiences: too hot, too cold, not enough oxygen, not enough nutrients, situations interpreted as dangerous, and so on. So the language of this vital architecture is radically different from our verbal language. Its only language is that of biological and physiological processes.

 

  - Our consciousness, our language, our memories and our actions emerge from the self-organised activity of our organism. Its metalanguage takes precedence over all others (don't you have to be alive to speak, think and communicate?). The way we live influences this physico-chemical self-organisation through a constant multi-scale feedback effect.

 

Restoring a healthy vital dynamic when it has been altered strengthens our physical and mental capacities, and gives us greater clarity of thought so that we can make more enlightened life choices and behave in ways that benefit ourselves and others.

Beyond the therapeutic aspect,

 a new approach to coaching and well-being

 

In addition to its benefits in terms of care and well-being, the regulation of adaptive functions plays a key role in the professional environment. It is particularly beneficial for activities such as public speaking, improving team communication and management efficiency. G E S T® / Le Geste Réactif ® method is extremely useful in the field of business coaching, facilitating the practical integration of the expertise provided by the coach. 

 

This technique is also highly prized by artists and sportspeople, helping them to achieve excellence in their respective fields.

 

In the world of well-being, G E S T ® / Le Geste Réactif ® is essential for maximising the effectiveness of the other treatments on offer. It prepares the body to receive these treatments fully, facilitating a profound transformation towards lasting well-being. In this way, the benefits of a wellness cure are no longer ephemeral but become a lasting advantage, persisting well beyond the stay. 

The laws of physics, the universal framework of our existence

 

Our being is an integral part of the universe. Composed of 21 chemical elements common to those commonly found in the universe, our existence is governed by the same laws of physics. They all derive from the same fundamental, unifying principle: the principle of relativity. Which can be summed up literally as follows :

Nothing exists without something else. Our organism, like our environment, is at every moment the product of processes, information, interactions, emergences and metamorphoses.

 

Although the self-organisation of our biology differs from that of inert matter, it is conditioned by the same laws of thermodynamics: "Nothing is created, nothing is lost, everything is transformed" (law of conservation of energy and law of entropy).

 

Our physical and mental states undergo transitions as a function of our environment. The transition from one physical and mental state to another - consciously expressed in emotions and feelings of well-being or discomfort - corresponds in physics to a phase transition.

 

Borderline states (metastable states) are easily overturned by a slight change in context. Living in a constant state of alert is an example of a metastable state that can suddenly tip over, leading to sudden and extreme behavioural changes: compulsive behaviour, addiction, aggression or depression. Smothered in its own survival loop, the body looks for a way out. We become the puppets of our emotions. 

 

Water remains fluid when its pressure and temperature conditions do not turn it into ice or steam. Our life flows naturally when our body finds its optimal reactivity, freeing us from the painful oscillations between stillness and agitation, fear and anger.

How can the effectiveness of a therapeutic method be objectively assessed?

 

As Richard Feynman, winner of the Nobel Prize in Physics, put it: "It doesn't matter how beautiful your theory is, it doesn't matter how smart you are, it doesn't matter how famous you are... If your theory doesn't agree with experience, it's wrong. That's all there is to it".

 

To verify the impact of a therapeutic method in concrete terms, we need to consider its main aim: to re-establish an optimal physical and psychological balance in the individual, which is crucial for good reactivity and adaptation to life's challenges, and synonymous with well-being. The feeling of wellbeing corresponds to a good dynamic of our autonomic nervous system, i.e. a good synergy between the activity of the sympathetic and parasympathetic pathways. Any physical or psychological disturbance in the individual corresponds to instability in the autonomic nervous system. All that needs to be done is to test the reactivity of the autonomic nervous system (ANS) while mentally evoking the problem for which the person is consulting us.

 

Various methods exist for objectively assessing this "physiological barometer" of our overall balance: impedance measurement, spirometry, cardiac coherence, etc. The simplest method consists of evaluating and comparing proprioceptive reactions (overall body reactivity in a situation of induced imbalance) before and after therapy, using a strict evaluation protocol. A significant difference in bodily reactivity indicates the effectiveness of the therapy in dealing with the problem or disruptive event. The persistence of an imbalance indicates the ineffectiveness of the method used.

The body has its reasons that reason ignores

Why did we imagine that restoring the overall balance of our being would essentially involve the functioning of our thoughts rather than that of our organism?

 

The world of ideas undoubtedly freed itself from our vital processes from the outset, because it did not spontaneously have the capacity to understand their complexity. Since then, our mental functions have been given a privileged status, replacing the fundamental role of our vital architecture with another, more speculative, architecture, divided into arbitrary topologies - preconscious, conscious, unconscious, subconscious, etc. - terms with different meanings depending on whether you call yourself a philosopher, a psychologist or a psychoanalyst. Who can argue with that?  This is how we create and impose our presuppositions, which we readily elevate to the status of dogma. Some work in relative terms, such as Euclidean geometry, which is practical on our scale but which would be nonsense applied to the curvature of space-time or to the quantum level. Others do not work on any scale. At most, they flatter the intellectual when thought is made an absolute.

 

The reality is quite different. First and foremost, our intelligence is not designed to think but to act. Like all human functions, it is a faculty of adaptation that accompanies our anatomical condition, which determines our mobility, our gestures and our actions. That's why it's impossible for us to think two things at once, because our anatomy doesn't allow us to move in two directions at once! Introspection is the worst investigative tool, if you're interested in the nature of the mind: it's like going to your deepest prejudices and wallowing in them'' (Carlo Rovelli).

 

Only a concrete reaction can inform and modify the metabolism of an alert organism, on which our physical and psychological functions depend. Our instinct for self-preservation is not to be trifled with! It would be extremely dangerous if we could use our thoughts alone to suppress all the biological and physiological mechanisms summarised by the term "self-preservation instinct". The complexity of the way our bodies work escapes the rational logic of our system of thought, and fortunately so. We would be cluttered with useless information. By nature, our thinking is reductive. To be rational is to think in ratios, in arbitrary quotients of a complex whole; hence the diversity of perspectives, of ways of thinking about the same problem, of opinions on the same subject. To each his own... Tackling complexity has required a variety of concrete and abstract tools (microscopes, mathematics, etc.) to take a step away from our spontaneously analytical and linear way of thinking.

 

So the complexity of our existence and of the world can never be summed up in a linear logic of cause and effect, a restrictive logic derived from the natural functioning of our reason. Is it always reasonable to be right? Like Euclidean geometry, our subjective reasoning is useful in our daily lives, but it has difficulty grasping the complex organisation of phenomena inherent in our human nature - an organisation that is both biological and memorial. Consequently, the human sciences and the basic sciences have everything to gain by joining forces, overlapping and confronting each other in an attempt to understand this complexity, which involves simultaneous non-linear dynamic processes on every scale.

 

Knowing and understanding our personal history will never change the organic alarm it has triggered. To do so would be - in addition to the above - to confuse history with the imprint it leaves. Our organism in a state of imbalance, which informs our consciousness through hunger, thirst, sleep, the need to urinate, our painful emotions, etc., is not satisfied with an enlightened consciousness. Just as telling us why we are hungry will never fill our stomachs, telling us why an event upset us will neither change our retreating bodily reflexes, nor their mental integration in the form of emotions. At best, we will have the idea of comfort, protection and understanding through venting or complaining. At worst, a degree of mental desensitisation is achieved, while the body remains alert. Dissociation. Testing our physiological functions, as indicated above, is the only way to objectivise a real return to the individual's overall balance.

IN SUMMARY

 

G E S T® / Le Geste Réactif ® method specifically and precisely targets our body's reactivity when it gets stuck in an unfinished reaction. This body-based approach stimulates our physiological adaptation processes, enabling us to quickly and definitively resolve a harmful state of alert using the only language our body immediately recognises. By specifically activating the fastest neurophysiological pathways, this method provokes a retroactive emergent phenomenon: by intervening specifically on the basis of a bodily imbalance, a symptom, an emotional feeling, a muscular contracture, etc., the reflex reactivity induced by this method sends a physical signal back to the body. Biological and physiological balance is restored, physical and mental disturbances disappear, the body regains its fluidity and the mind its clarity.

 

Talking about personal history then becomes superfluous. Verbal therapies remain useful once the organic blockage has been lifted, to support the regained discernment and advise on life choices.

 

It is important to recognise that nature does not recognise the arbitrary distinctions we make. There is no such thing as an isolated "psychological trauma", any more than there is an isolated "physical trauma". The functions of the individual are indivisible. Trauma refers to the lasting alteration of all the individual's functions, whatever the nature of the initial disturbing event. 

Bertrand Boutron

Author of G E S T®/Le Geste Réactif® method

Vice President of European Institute for Systems Biology and Medicine (EISBM.org)

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Consultation in Paris. Training courses in Paris, in the provinces and abroad, adapted to health professionals on the one hand, and coaches and well-being professionals on the other.

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